RÉDACTION INTERNATIONALE, le 14 Avril 2019. (WWW.ZONE509.COM) – L’actuelle mission de police de l’ONU en Haïti (Minujusth) sera fermée en octobre prochain, comme l’a décidé vendredi le Conseil de sécurité, qui prévoit de la remplacer par une opération politique.
La mesure proposée par la délégation des États-Unis d’Amérique a été approuvée par 13 voix pour et 2 abstentions de la République dominicaine et de la Russie.
La résolution adoptée par le Conseil de sécurité proroge pour une dernière période de six mois – jusqu’au 15 octobre – le mandat du Minujusth, créé en 2017 pour remplacer la mission de paix présente depuis 13 ans dans le pays. .
Cette mission, connue sous le nom de Minustah, a fait l’objet de controverses, notamment parce qu’elle était considérée que le déversement de déchets fécaux dans une rivière par des “casques bleus” était à l’origine d’une épidémie de choléra qui avait coûté la vie à des milliers de personnes.
L’opération en cours, qui soutient les autorités haïtiennes dans le développement de l’application de la loi et d’autres questions, compte un peu plus de 1 300 soldats, dont la plupart sont des officiers de police.
À la fin, la Minujusth sera remplacée par une autre présence plus petite, la mission politique, à laquelle le secrétaire général, António Guterres, doit maintenant travailler, comme il avait été commandé par le Conseil de sécurité vendredi. En dépit de cette étape, la plus haute instance décisionnelle de l’ONU a reconnu dans sa résolution que Haïti “continuait à faire face à des problèmes majeurs” et qu’il devait continuer à progresser sur plusieurs fronts pour “parvenir à une stabilité durable”.
Haïti traverse actuellement une crise économique et politique majeure qui a déclenché de violentes manifestations contre l’administration du président Jovenel Moise et la corruption qui paralysait le pays pendant plus d’une semaine.
Moise a nommé Jean-Michel Lapin au poste de Premier ministre, poste qu’il occupait par intérim depuis le mois dernier, devenant le troisième à entrer en fonction au cours des deux dernières années et en pleine crise.
Son prédécesseur, Jean Henry Ceant, avait été limogé par le Parlement par une motion de censure en raison de l’absence de réaction face à l’aggravation de la crise économique.
La mesure proposée par la délégation des États-Unis d’Amérique a été approuvée par 13 voix pour et 2 abstentions de la République dominicaine et de la Russie.
La résolution adoptée par le Conseil de sécurité proroge pour une dernière période de six mois – jusqu’au 15 octobre – le mandat du Minujusth, créé en 2017 pour remplacer la mission de paix présente depuis 13 ans dans le pays. .
Cette mission, connue sous le nom de Minustah, a fait l’objet de controverses, notamment parce qu’elle était considérée que le déversement de déchets fécaux dans une rivière par des “casques bleus” était à l’origine d’une épidémie de choléra qui avait coûté la vie à des milliers de personnes.
L’opération en cours, qui soutient les autorités haïtiennes dans le développement de l’application de la loi et d’autres questions, compte un peu plus de 1 300 soldats, dont la plupart sont des officiers de police.
À la fin, la Minujusth sera remplacée par une autre présence plus petite, la mission politique, à laquelle le secrétaire général, António Guterres, doit maintenant travailler, comme il avait été commandé par le Conseil de sécurité vendredi. En dépit de cette étape, la plus haute instance décisionnelle de l’ONU a reconnu dans sa résolution que Haïti “continuait à faire face à des problèmes majeurs” et qu’il devait continuer à progresser sur plusieurs fronts pour “parvenir à une stabilité durable”.
Haïti traverse actuellement une crise économique et politique majeure qui a déclenché de violentes manifestations contre l’administration du président Jovenel Moise et la corruption qui paralysait le pays pendant plus d’une semaine.
Moise a nommé Jean-Michel Lapin au poste de Premier ministre, poste qu’il occupait par intérim depuis le mois dernier, devenant le troisième à entrer en fonction au cours des deux dernières années et en pleine crise.
Son prédécesseur, Jean Henry Ceant, avait été limogé par le Parlement par une motion de censure en raison de l’absence de réaction face à l’aggravation de la crise économique.
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